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Journal d'une préparationnaire

13 mars 2011

Masochisme bonsoir !

N'ALLEZ PAS EN PREPA ! Inconscients ! Pauvres âmes ! L'hypokhâgne est un repère de psychopathes dégénérés qui rêvent d'avoir des pouvoirs magiques et vous transformeraient volontiers en lardon(ou je ne sais quelle obscure créature) pour éliminer la concurrence. Fuyez tant qu'il est temps ! Décochez tous vos voeux sur Admission-Postbac ! Partez mesurer le pH des urines des oiseaux d'Alaska !

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10 octobre 2010

J'aurais du être artiste

dommage que je chante pas bien, que je sache pas dessiner, que je sois moche et tout.
(ben ouais t'as cru si jmettais pas ma photo c'était par souci d'anonymat?) (ben naw)

3 octobre 2010

Les inconvénients de la vie sans la société

Bon alors. Ca fait un mois que je suis rentrée, j'ai l'impression que ça fait trois ans, et en plus le temps passe vite. Non c'est pas logique. Est ce de mon devoir d'être logique cependant ?

Je vais vous narrer quelques évènements de ma vie de préarationnaire, parce que ouais ça y est j'en suis, une, une vraie, une vraie de vraie, avec des cernes et tout ça tout ça.
En fait non, tout raconter ça serait pas drôle, je vais juste citer quelques éléments majeurs de cette nouvelle vie.

En premier lieu, la vie tout seul. Genre tout seul, dans un 20m² et tout. Ben c'est pas si cool que ça. Je sais pas faire à bouffer, du coup de fais chauffer des trucs tout faits au micro onde. Jdis ça mais c'est pas mauvais le thaï tout fait. En revanche un truc mauvais, chut le dites pas à maman elle va s'inquiéter pour moi, c'est de bouffer des trucs périmés. Comme t'as pas le temps de faire les courses en prépa, tu vas au Monoprix une fois par mois et tu blindes ton frigo. Bad idea. A la fin du mois il reste que des yahourts nature (achetés pour avoir bonne conscience), un peu vieux, pas bon, même dégueu. It's the life !
Hormis la nourriture y'a le fait d'être seul. Bon de toutes façons j'ai pas trop trop le temps de parler aux gens, mais parfois c'est pesant. Et puis jeudi il m'est arrivé un truc fatal, un truc que ça m'était jamais arrivé quand je vivais chez maman, un truc que ça aurait pas du m'arriver ce jour là. Mon réveil est tombé en panne. Lever : 8h10. Adieu le cours de latin, bonjour la honte quand il faut s'expliquer avec le prof. Wonderful.

Ensuite y'a le travail. Putain y'en a beaucoup. Mais c'est cool, hein, jveux dire c'est pas de la physique quoi. C'est intéressant. C'est même passionnant. Même si faut suivre.
En adéquation avec la somme de travail y'a le manque de sommeil. Pas que je travaille jusqu'à 4h du mat tous les soirs hein, non loin de là, juste que le rythme est fatigant. Et que du coup des soirs on aimerait bien se coucher à 21h. Sauf que si tu te couches à 21h mon garçon, tu vas tellement culpabiliser que t'arriveras pas à dormir. Eh ouais.

A part ça je suis dans le premier tiers de la classe. Pour l'instant. Et la question qui taraude tout le monde depuis un mois c'est : qui c'est qui va abandonner ? J'ose pas leur dire que c'est peut être eux, peut être moi... C'est cool la prépa, y'a plus de suspens que dans un David Lynch.

19 septembre 2010

La colle de français devrait s'appeler exercice au déshonneur

Tout est dans le titre : j'ai eu ma première colle de français jeudi. C'était tiptop, j'ai pu utiliser le néant qui me sert d'intellect devant une normalienne agrégée de lettres classiques. La grande classe !

11 septembre 2010

Petite précision bénine

Si vous écoutez Les Grosses Têtes, me le dites pas. Je pourrais ne pas vous aimer.
Et surtout, ne le dites pas à un prof d'éco normalien doctorant en je ne sais quelle obsucre discipline. Conseil d'ami.
(moral de ma voisine de classe : RIP)

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4 septembre 2010

I'm a survivor

Bon, j'ai eu ma rentrée, et je m'en suis sortie.
Jusqu'au bizuthage surprise qui m'a coûté un pied (non seulement on a pas eu le choix, mais en plus y'a des gens dans le tas qui savent pas se déplacer correctement, qui vous tombent dessus et qui s'accrochent comme ils peuvent à votre jambe, qui vous tordent le pied en quatre et qui s'excusent même pas. C'est pas parce qu'on fait des lettres qu'on est bien éduqué).

Sinon y'a des gens normaux, y'a des gens sympathiques, y'a même des gens qui avaient jamais pris le métro de leur vie (pas si normaux que ça finalement).
Je ne saurais tout vous raconter, ça me parait compliqué... Et puis surtout j'ai pas trop trop le temps, j'ai un petit test de rentrée à réviser ! Donc, futurs hypokhâgneux, je vais vous laisser le soin de découvrir tout seuls ce qu'est une rentrée en prépa. C'est pas bien méchant en tous cas. Enfin ça dépend, si t'aimes pas te faire remballer comme une sous-chose par un prof d'éco auquel tu as posé une question HS, ça se passe moins bien (kassdédi à miss anti-Kosovo).

Adieu les amis, je m'en vais en territoire lointain et non moins dangereux. Vous aurez des nouvelles quand j'aurai abandonné !

31 août 2010

Rho bordel !

Emménagement : J-1.
Rentrée : J-2.
Tu connais le mot angoisse ?

Je veux pas partir de chez maman, non non non non (haha jvous ai mis Camélia Jordana dans la tête!). Et je veux pas avoir d'évaluations de rentrée. Je sais qu'il faut bien un dernier m'enfin, j'ai pas envie quoi. Mais genre pas envie du tout. Mais en fait le pire je crois, c'est que je viens d'apprendre une nouvelle absolument terrible...
En primaire, on a tous un pire ennemi. Surtout quand on est la première de la classe et que les autres gamins sont jaloux. Et le pire, c'est quand y'a deux premiers de la classe qui peuvent pas se blairer. Ben c'était comme ça pour moi : une première, un premier. La première, c'était moi (les temps changent ouais ouais). Le premier, on va l'appeler René.
Ben avec René, on se tirait dans les pattes, on se dénonçait l'un l'autre, maîtresse il a pas fait ses devoirs, et je crois que si on avait pu on se serait craché dessus.
Après le CM2, on s'est plus revus. Ouf. Ah si. On a passé le Brevet ensemble. GROLOLE. Sinon c'est tout.
Sauf que là René, il a décidé de faire comme moi, je devais lui manquer. On va être dans la même classe. Bordeldebordeldebordeldebordeldemerde.

Ouais c'est déprimant hein. C'est la merde. La grosse merdasse.
Je veux mourir. (non c'est pas vrai, me flinguez pas svp)

30 août 2010

Johnny, I hardly knew ye

While goin' the road to sweet Athy, hurroo, hurroo
While goin' the road to sweet Athy, hurroo, hurroo
While goin' the road to sweet Athy
A stick in me hand and a drop in me eye
A doleful damsel I heard cry,
Johnny I hardly knew ye.
With your drums and guns and drums and guns, hurroo, hurroo
With your drums and guns and drums and guns, hurroo, hurroo
With your drums and guns and drums and guns
The enemy nearly slew ye
Oh my darling dear, Ye look so queer
Johnny I hardly knew ye.

Where are your eyes that were so mild, hurroo, hurroo
Where are your eyes that were so mild, hurroo, hurroo
Where are your eyes that were so mild
When my heart you so beguiled
Why did ye run from me and the child
Oh Johnny, I hardly knew ye.

Where are your legs that used to run, hurroo, hurroo
Where are your legs that used to run, hurroo, hurroo
Where are your legs that used to run
When you went for to carry a gun
Indeed your dancing days are done
Oh Johnny, I hardly knew ye.

I'm happy for to see ye home, hurroo, hurroo
I'm happy for to see ye home, hurroo, hurroo
I'm happy for to see ye home
All from the island of Sulloon
So low in flesh, so high in bone
Oh Johnny I hardly knew ye.

Ye haven't an arm, ye haven't a leg, hurroo, hurroo
Ye haven't an arm, ye haven't a leg, hurroo, hurroo
Ye haven't an arm, ye haven't a leg
Ye're an armless, boneless, chickenless egg
Ye'll have to put with a bowl out to beg
Oh Johnny I hardly knew ye.

They're rolling out the guns again, hurroo, hurroo
They're rolling out the guns again, hurroo, hurroo
They're rolling out the guns again
But they never will take our sons again
No they never will take our sons again
Johnny I'm swearing to ye.

(ouais, I♥Ireland,
et ouais, les chants populaires, ça m'émeut)
(d'ailleurs j'ai prévu de partir vivre en Irlande,
juste pour prendre l'accent parce qu'il est trop classe)

29 août 2010

27 août 2010

God bless MTV

Amis du soir bonjour !

Aujourd'hui je suis d'humeur mauvaise (et non de mauvaise humeur, tout comme la volonté bonne et la bonne volonté sont deux choses différentes) (vasylàpourquoiellenouscitekantcettegrognasse). Pour ma défense j'ai une bonne raison, enfin pas franchement une bonne raison, plutôt un pied paralysé et donc je ne peux me déplacer. Et donc je reste assise. Sur une chaise de bureau. Devant l'ordi. Yahou.
Mais trêve de lamentations. Aujourd'hui étant d'humeur mauvaise, j'ai décidé de vous parler de ce que je n'aime pas. Parce que j'aime bien parler de ce que j'aime pas. En plus la liste est plus longue que celle des choses que j'aime (attention, ce blog va finir en déversoir rouge et noir à idées morbides) (non je rigole).

Alors j'hésite : les fautes de français ? la roumaine du métro D ? Le trio Anna Gavalda-Marc Lévy-Guillaume Musso ? Le Time ? Le café soluble ? Ma prof de bio (enfin, ex prof de bio, mais de toutes façons ça revient au même, sa face de cocker endormi m'insupporte toujours autant) ? Les doudounes sans manches ? Les effaceurs qui effacent plus ? Karl Lagerfield ?
... Rude choix. Mais sortant tout juste de mon canapé, j'ai trouvé un truc infaillible, un truc que personne pourra me dire que vraiment je pourrais faire preuve d'un peu de tolérance, et d'ailleurs grâce au titre du sujet vous allez avoir la réponse à la question que vous vous posez tous : "Mais que faisait-elle dans son canapé ?" ...

Que faisais-je ? Chers amis, apprenez que dans mon canapé, je m'atelais à la lourde tâche que représente l'expérimentation...

DES JOIES DU FILM D'ACTION AMERICAIN.

Le film d'action américain, c'est fantastique. C'est super original et en même temps ça reste fidèle à soi même. Y'a toujours un scénar de malade et des dialogues travaillés jusqu'à l'os, des fois on s'attend même à ce que Bruce Willis se mette à parler en alexandrins. Mais il le fait pas. Peut être par peur d'impressionner...

Le film d'action américain, ça reste tout de même une tradition. Il faut pas sortir des règles de l'art, sinon personne vient au Pathé payer sa place à 12 euros pour voir votre daube création. Ceci est donc une petite liste d'indications à suivre, si vous comptez tourner un film d'action aux Stayts', et que pour autant vous comptez pas vous endetter.

___• Le Héros :
Le héros du film d'action américain est un gentil. Quelque soit sa situation sociale, son passé, ses compétences en matière de sauvage de monde (question à laquelle nous reviendrons plus tard). Il est gentil, c'est à dire que même si c'est un odieux violeur de poulains à moitié morts, vous lui devrez la vie dans deux heures. Peu importe le nombre de gens qu'il aura massacré à la mitraillette-tronçonneuse-moissoneuse-batteuse (pour l'armement, voir la rubrique Les Méchants, ci dessous), il est de votre devoir de comprendre qu'il est admirable et indispensable à la sécurité de l'Humanité (ou devrais-je dire, des Etats-Unis ?).
La deuxième caractéritique du héros est : il est musclé.  Mais alors vraiment musclé. Et s'il a de la chance, il est même épilé. C'est pas pour l'aspect esthétique (oui, les acteurs américains sont les seuls qui ont le droit d'être aussi imberbes qu'un gosse de huit ans et d'être quand même so hot) dans la lumière mal tamisée des projos, non non non, c'est parce que les poils peuvent le gêner pendant qu'il sauve le monde (cf. Course poursuite). Mais revenons à nos muscletons. Ses bras font au moins l'équivalent de deux cuisses de Beth Dito. En plus ferme. C'est pourquoi on dirait qu'il a une petite tête. Ca ne l'empêche pas d'être intelligent, au contraire, il est tellement fort dans sa tête qu'il déjoue tous les complots des vilains qui veulent détruire l'Amérique/tuer le Président/déclencher une guerre nucléaire/le faire chanter pour qu'il courvre un cartel de la drogue.
Enfin, le héros du film américain est super fort : la panoplie gentil + musclé + intelligent (à sa façon) en fait l'homme le plus puissant du monde, même s'il a pas eu une vie facile. Cela nous mène à notre seconde méthode pour réussir un film d'action américain.

___• Le Contexte :
En général ça se passe dans une grande ville de la côte est. Mais ça peut aussi arriver parfois que les scénaristes se creusent pendant de longues semaines pour trouver un truc qui varirait un peu. Ca se passe alors à Los Angeles.
Il faut savoir que notre héros est à la base un homme d'action : flic, garde du corps, taxi, vétéran... Et qu'il va sauver le monde (oui je sais, c'est mal de raconter la fin). Et s'il doit sauver le monde, c'est bien parce qu'une menace pèse sur l'Humanité (ou devrais-je dire, les Etats-Unis) (l'humour à répétition finit toujours par faire rire, vous verrez).
La nature de cette menace peut changer selon l'inspiration du moment. Mais notez qu'il faut qu'elle rentre dans une de ces catégories :
a) la menace des cartels de la drogue qui tuent des gens
b) la menace des cartels de la drogue qui tuent des gens et qui voudraient bien tuer le Présdident
c) la menace des terroristes qui voudraient bien tuer le Président et qui tuent des gens en attendant que l'occasion se présente de tuer le Président
d) la menace des terroristes qui tuent des gens en attendant de pouvoir tuer le Président et qui vendent de la drogue et des armes
(pour savoir qui sont ces gens, voir Les Méchants).
Enfin, il doit faire beau. Sinon notre héros ne pourra pas foutre le feu à la planque des méchants (cf. Course poursuite).
Ah oui, j'allais oublier : c'est pas mal si le héros a une famille, avec un fils de 6 à 9 ans et une fille de 17 ans qui tape ses crises pour sortir avec ses copines, sinon la prise d'otages est plus compliquée (re-cf. Course poursuite). C'est encore mieux si notre héros est veuf, ça le rend plus gentil puisqu'il a pas eu la vie facile.

___• Les Méchants.
Les méchants du film d'action américain sont pas les mêmes selon leur degré de méchanceté, ni selon leur secteur d'activité. En effet, la planète des méchants regroupe tout un tas d'individus différents, que je vais essayer de classer par catégories.
___a) les cartels de la drogue.
_Les cartels de la drogue viennent souvent d'Amérique Latine : Mexique, Colombie, Brésil. Parfois d'Italie quand même, et parfois ils sont noirs. Mais on trouve plus de latinos et d'italiens. Ils sont habillés à la mode de pas chez nous. C'est à dire que même s'il fait 58°C à l'ombre ils ne portent jamais de shorts. Les latinos sont souvent en pantalon blanc + chemise blanche, les autres en manteau de fourure, dans les deux cas la grosse paire de grosses lunettes de soleil est indispensable.
Proxénétisme, trafic de drogue, d'armes, ils sont assez polyvalents. Par contre ils sont pas cool. C'est à dire que si tu es leur employé et que tu leur réponds mal, tu meurs. Et si tu fais bien ton boulot, tu meurs aussi. Fallait pas essayer de les rendre jaloux.

___b) les terroristes.
_Les terroristes peuvent appartenir à deux ethnies différentes : soit ils sont arabes, soit ils sont russes. Parfois ils sont noirs, mais c'est moins courant. Les russes et les arabes n'ont pas les mêmes méthodes de travail.
Les Arabes sont plus axés sur l'attentat dans le train, l'avion, le métro. Ils posent des bombes ou alors ils détruisent des réacteurs nucléaires. Pour torturer notre héros, ils auront plutôt tendance à l'attacher à une chaise pour le frapper à mort, le tout en chantant des mélodies dans leur langue. Ils mènent souvent une sorte de guerre sainte, donc ils prient beaucoup.
Les Russes, eux, sont plutôt du genre à neutraliser tout le système informatique de tout le monde entier (ou devrais-je dire, des Etats-Unis). Et quand ils veulent des informations (qu'est ce que tu sais que nous savons que tu sais que nous savons que tu sais?), ils adorent couper les orteils des protagonistes, après ils les jettent dans des bains d'acide et pour finir, ils les scalpent (ouais je sais, ils ont copié les Indiens, bande de salauds).

N'oublions pas les mini-méchants, petits dealers, espions de la CIA, etc. Ceux là ils sont blancs, ou asiatiques. Et ils ont toujours besoin d'argent.
Enfin les grands méchants sont toujours très armés. Et ils ont le talent incroyable de pouvoir cacher un sniper dans leur slip. Des fois on voit tellement pas qu'ils sont armés qu'on croit qu'ils sont gentils. Enfin au début. Parce que quand ils sortent leur gros calibre après avoir bu un coup avec le héros (qui lui est, rappelons-le, gentil) (et intelligent aussi, mais bon pour cette fois là il avait juste cru que son pote était vraiment son pote), ben on comprend - je crois - qu'ils sont méchants. Mais ces gadgets ne sont pas là pour rien, ils vont servir à notre héros une fois qu'il aura buté tous les moyen-méchants à mains nues : avec, il va pouvoir tuer les grands méchants (cf. Course poursuite).

___• La Course poursuite :
La course poursuite arrive en général 30min avant la fin du film. Le héros a fait une boulette, il avait pas pensé à envoyer sa petite famille dans un bunker anti-atomique avant de se lancer dans la poursuite des méchants. Donc les méchants, qui voient que le héros est vraiment trop fort pour eux, décident d'utiliser un stratagème : ils vont enlever sa famille et les torturer. Histoire de faire venir le héros chez eux pour qu'ils puissent le buter at home.
Sauf que le héros, vu qu'il est intelligent et super fort (rapport aux muscles), il va pas se faire buter. Il va commencer par attirer le méchant hors de chez lui, et après il va se sauver comme un gros lâche. Et comme le méchant est con, a lieu de buter un des gosses, et de dire au héros que si il se rend pas l'autre va mourir aussi, ben il se lance à sa poursuite. Commence alors le concours de celui qui aura le plus de testostérone.
Dans la course poursuite, on a d'abord des grosses voitures qui brillent, avec des grosses armes qui font du bruit, et de la musique abominable pour accompagner la scène. Après y'a une des voitures qui explose, celle du méchant normalement, qui d'ailleurs n'a rien de cassé et s'enfuit en courant. Heureusement y'a un hangar pas loin avec des tonnes de conteneurs, ça fait un chouette labyrinthe et comme ça on vous rajoute bien 15min de suspense. Qui donc va gagner la bataille ?
Enfin, le héros finit par surprendre - en même temps que le public - le méchant, et lui tire dessus. Paf, le méchant est à terre, le reste de la police arrive parce que tiens, c'est bizarre ils avaient cru entendre un bruit. Ah ben ouais, y'a du sang partout. Hop hop hop, notre héros retrouve ses enfants, tout va bien, il a peut être tué la moitié du pays, défoncé quatre aéroports, déclenché une guerre civile en Chine, mais il a tué le méchant, donc on le fait pas chier et il peut rentrer chez lui manger une pizza devant Dr House.

- FIN -

NB : les personnages secondaires, dans les gentils, meurent tous avant la fin. Ce sont soit des noirs, soit des femmes, soit les deux.

Alleeeeeeez, qui veut regarder Die Hard 4 avec moi ?

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